Même quand leur obligation est incontestable, les assureurs tenus d’indemniser le préjudice corporel de la victime s’appliquent à minimiser les séquelles subies.
Et les résultats sont édifiants: les indemnités versées sont en moyenne deux fois moins élevées lorsque la victime traite directement avec l’organisme-régleur.
L’activité de DOLORIS CAUSA est axée sur les seuls intérêts de la victime d’accident ce qui exclut tout soupçon de conflit d’intérêt avec les organismes-régleurs (assureurs, fonds de garantie).
Cette exigence s’applique également à tous les partenaires susceptibles d’intervenir aux côtés de DOLORIS CAUSA de sorte que l’activité du Cabinet est dirigée vers une indemnisation MAXIMALE du préjudice corporel de la victime d’accident.
A toutes les étapes du dossier d’indemnisation, DOLORIS CAUSA privilégiera la voie transactionnelle dans la discussion avec l’assureur.
C’est pourquoi, dans l’immense majorité des cas (95%), nos compétences permettront d’aboutir à un règlement amiable du préjudice corporel de la victime, sans sacrifier pour autant l’objectif premier d’une indemnisation maximale de son préjudice corporel
HERVÉ B.Victime d’un accident de la route
”Suite au grave accident de circulation dont mon fils a été victime en 2012, j'ai fait appel à Mr NICOLLE pour le représenter amiablement auprès de la compagnie d'assurances. Il nous a donnés entière satisfaction, sans son intervention l'indemnisation aurait été beaucoup moins importante. Je le remercie pour son sérieux, son investissement, et le recommande à toute personne qui aurait à traverser le même type d'épreuve.
MARIE C.Victime d’un accident de la vie
”Monsieur Nicolle, je tenais à vous faire de mes plus nobles remerciements. Complètement reconnaissante pour votre travail, votre dévouement et votre investissement qui nous a mené à ce résultat. Mille Mercis !
ANNE T.Victime d’un accident de la circulation
”Au-delà de ses compétences techniques, Christopher NICOLLE dispose de qualités humaines d’empathie et d’écoute qui lui permettent d’apporter un accompagnement sans faille à la victime.
Je le remercie vivement, et n’hésiterai pas à le recommander à toute personne victime d’un accident corporel qui serait en recherche d’un accompagnement humain et professionnel.
Dernières actualités en matière d'évaluation du préjudice corporel
Il n’existe pas de barèmes d’indemnités en droit français.
Autrement dit, chaque victime de préjudice corporel est unique. Son indemnisation doit être individualisée en considération des conséquences concrètes de ses blessures dans son existence.
Par conséquent, seule une expertise médicale complétée par les éléments précis de votre situation permettront d’aboutir à un chiffrage véritablement complet de votre dommage.
Tout d’abord, les informations fournies lors de l’étude initiale de votre dossier sont purement gratuites pour vous permettre de prendre votre décision en toute connaissance de cause.
Puis, lorsque vous décidez de nous confier votre dossier, nous régularisons ensemble une convention détaillant nos honoraires lesquels contiennent une partie fixe ainsi qu’une part variable liée aux indemnités effectivement obtenues à votre profit.
Le facteur-temps est primordial en la matière. Il vous faut comprendre que l’objectif de l’indemnisation n’est pas le remplacement d’un bien matériel, mais la réparation d’une atteinte à votre personne.
C’est pourquoi il n’est pas possible « d’aller plus vite que la musique », celle-ci étant dictée par l’évolution de votre état de santé.
Néanmoins, nous intervenons afin d’obtenir des règlements provisoires à toutes les étapes de votre dossier d’indemnisation.
De plus, en notre qualité d’expert d’assurés, notre mission première sera de privilégier dans tous les cas la voie amiable au mieux de vos intérêts. Ainsi, nous évitons le plus souvent l’allongement des délais inhérents à la mise en œuvre d’un procès.
A vrai dire, il s’agit d’une question récurrente des victimes, qui est même parfois suggérée par les autorités (police, gendarmerie).
Plusieurs choses à intégrer avant de prendre votre décision:
